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Prendre des décisions importantes

Ce qui distingue généralement les personnes qui réussissent des autres provient de leur capacité à prendre des décisions importantes et qui durent.

Il faut bien retenir cette deuxième partie car il peut en effet y avoir beaucoup d’options viables et bénéfiques à saisir mais souvent cela reste temporaire.

C’est à dire qu’il demeure assez simple de savoir distinguer les éléments bons pour nous des autres et plus compliqué de les implémenter sur du long terme.

Par exemple si l’on décide d’arrêter le café, on trouve des raisons concrètes de franchir le pas comme pour obtenir une amélioration de son sommeil, un corps plus alcalin, une baisse de tension, une attention plus régulière, une réduction du stress, un sentiment de plus grand bien être…

En arrêtant une dépendance, il s’avère plus aisé d’en stopper une autre et de mieux reconnaître ce qui interfère avec les bons choix à prendre. Si l’on sait que le café est acidifiant pour le corps, d’autres éléments le sont également comme les produits d’origine animale, le sucre, l’alcool etc…

Maintenant pour arriver à prendre des décisions importantes, la compréhension des choses restent essentielles. Quand on veut retenir une information dans son esprit en faisant l’effort de comprendre sa signification et son but alors il n’y a plus besoin de s’obliger à la répétition.

Le secret de ceux qui réussissent mieux et plus que les autres, il réside dans l’application perpétuelle à clarifier chaque petite ou grande décision.

On se demande souvent pourquoi, c’est souvent toujours les mêmes qui finissent premier du classement des meilleurs buteurs ou qui obtiennent les plus grosses primes. Ils n’ont pourtant pas forcément le talent inné ou naturel. Ce qu’ils savent utiliser, c’est plusieurs bons ingrédients et combinés de la meilleure façon possible.

Dès lors que nous savons pourquoi faire telle chose et surtout comment la mettre en pratique, c’est à dire par l’entraînement et la régularité.

En faite, pendant que des gens sont réguliers dans la médiocrité d’autres travaillent régulièrement à la refuser.

D’où l’écart et le fossé qui se creuse ensuite de plus en plus. L’on parle alors de records stratosphériques, d’extraterrestres, de surhommes, de self made man… Les superlatifs abondent et pourtant, le temps lui continue de s’écouler paisiblement pendant que les spectateurs applaudissent et paient leur instant de bonheur éphémère.

Dans les commentaires de football, on entend parler de « 5 minutes de bonheur en plus » pour évoquer des prolongations de matchs suite à des arrêts de jeu. On oublie de dire que le bonheur ne se symbolise pas dans l’inaction et la passivité mais dans la réflexion et l’activité.

De plus, cumuler un ensemble de bonnes décisions durables et sans pour autant, croire en une quelconque idéologie philosophique ou religieuse, permet de concrétiser tout ce que l’on veut.

L’Islam par exemple, interdit de manger du porc mais autorise les autres viandes comme le mouton façon casher et qui dérègle le cerveau, intoxique le corps humain d’acide chlorhydrique contenu aussi dans celui de l’animal (éliminé normalement par la sueur et l’urine) et le contamine par l’absence de barrière protectrice contre les bactéries extérieures du faite de la mort de l’animal.

Beaucoup de gens également se plaignent sans arrêt de leur travail mais n’agissent pas dans celui-ci ou en dehors, pour un jour pouvoir en sortir.

C’est pourquoi, il est essentiel de développer l’habitude de se demander régulièrement si je vais oui ou non dans la bonne direction.

Un cerveau malade vient d’un corps malade et qui produit un cerveau malade. Plus le corps se trouve malade et plus, il s’avère difficile de changer car l’accoutumance se révèle si forte qu’elle ne supporte pas le processus de detoxification.

Quand durant des années, nos croyances et nos pratiques sont restées pratiquement les mêmes avec de légères ameliorations ou à l’inverse, de fortes régressions tant que l’on ne se penche pas sérieusement sur le sens de celles ci et ses conséquences, le progrès signifie alors abandon.

Soit on veut progresser ou soit l’on abandonne. Soit on créer sa destinée ou soit l’on creuse sa tombe. Soit on laisse les aléas nous détruire ou soit l’on fabrique ses propres marches d’escaliers.

Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir et tant qu’il y a de l’espoir, le meilleur devient mieux qu’hier et moins bien que demain.

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