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Donner de l’amour

Dans notre existence de vie éphémère sur terre, beaucoup de personnes se posent la question de savoir si ce qui est le plus important, c’est de donner ou de recevoir.

Dans cette réflexion ambivalente, il se créer souvent un conflit de dualité ou l’on attend de l’autre qu’il nous donne ce que l’on souhaite et sans savoir aussi vraiment ce que l’on attend précisément.

En réalité, il existe beaucoup de gens frustrés de leur vie et qui se mentent à eux même quotidiennement. Ils recherchent à l’extérieur ce qui va censer les satisfaire et sans se dire qu’ils ont déjà tout en eux car pour aimer les autres, il faut déjà savoir s’aimer soi même.

Sans vouloir blâmer qui que ce soit, l’environnement joue un rôle important. Selon ce que l’on consomme, respire et créer comme habitudes, un sentiment fort d’ego centré va se développer.

Dans ce contexte, tout ce qui a trait à la notion du « moi je » s’incruste dans la partie. Il suffit de rajouter je suis, je pense, je sais, je considère etc.. pour que le cerveau se mette à croire que le monde qui nous entoure doit se rendre redevable envers qui l’on est.

Cela s’étend à d’autres sphères petites et grandes comme dans ses relations sociales, amicales, familiales, professionnelles, son rapport avec la santé, le matériel, les êtres vivants ou l’argent…

Finalement, ce qui arrive c’est qu’au lieu de construire ou bâtir des fondations, l’on déconstruits et cassent briques après briques. Au lieu de les empiler, elles s’effondrent alors en milles morceaux.

Mettre sur pied une approche tournée vers soi reste limitée et peu satisfaisante. Afin de lever les freins du conditionnement social et des barrières comportementales, la meilleure des solutions consiste à se départir de la fausse croyance qui consiste à se dire que l’on ne peut pas donner plus que ce que l’on a.

En réalité et si l’on recoit tant d’amour, tant de reconnaissance, tant d’argent… alors le deal va résider dans le faite de doubler cela.

Mais surtout, il ne faut pas attendre de recevoir pour donner. La vie n’attend pas que vous lui demandiez ce dont vous avez réellement besoin et se fiche de vos états d’âme. Si vous pleurnicher, vous apitoyer et penser qu’elle a une dette envers vous plutôt que de lui faire crédit, elle ne va pas rendre la pareille.

Selon qu’il fasse beau ou qu’il pleuve, celui ou celle qui comprend ce principe arrive à s’adapter à n’importe quelle situation et peu importe l’endroit où il se trouve et de quel berceau, il appartient.

Au départ si nous sommes tous égaux et venons entre guillemet du même moule de fabrication, ce qui distingue ceux qui réussissent se reconnaît dans la continuité de ce qui les a amener à naître et grandir.

Ils ne donnent pas pour se faire plaisir à eux même mais parce qu’ils comprennent que le secret, ils le détiennent déjà.

Celui de manifester au dehors ce qu’ils possèdent de plus précieux en eux c’est à dire, formaliser concrètement ce qu’ils imaginent.

Si Arnold Schwarzenegger a réussi a devenir Mister univers, acteur, gouverneur de Californie et presque président des états unis s’il avait pu, c’est grâce à sa vision de vouloir donner et fabriquer un monde à son image.

La règle se définit par deux mots simples: savoir donner.

 

 

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