Quand il s’agit de pratiquer par exemple l’autofinancement, le faite de réduire les frais de différentes façons s’avère réellement avantageux.
Déjà, il est possible de le faire au niveau du taux de crédit en lui même et en apportant tout simplement un apport.
Grâce à cela, il est beaucoup plus aisé de rallonger la durée du remboursement et sans avoir de réelle conséquence sur le montant mensuel du taux qui s’accroît car la marge dégagée sur le montant du prêt mensuel augmente davantage. (capacité d’endettement plus élevé)
Il faut savoir aussi, négocier une baisse de taux pour tirer encore plus de bénéfice.
En plus de jouer sur le taux, il y a les frais de dossier ou d’ouverture de compte et le coût de l’assurance du prêt sur lesquelles on peut agir.
Les premiers en les réduisant ou en acceptant d’en mettre la moitié sur des parts sociales (pour faire travailler l’argent de la banque) et que l’on restitue en fin de prêt.
Le deuxième en supprimant certaines options comme celle de la garantie perte d’emploi car même si on perd son travail en pratiquant de l’autofinancement, il n’y a pas vraiment de risque.
Il y a également la possibilité de demander dès le départ, la déléguation d’assurance (même s’il vait mieux jouer dans l’intérêt de la banque) ou prendre une autre assurance emprunteur durant la première année du prêt et/ou à chaque fin d’échéance (Loi Alur) et ceci en comparant simplement sur internet.
Dans tous les cas, ces deux options sont incluses de toute façon dans le calcul qu’effectue la banque sur le montant total du prêt sur lequel elle applique le taux. (le fameux taeg)
Il n’y a donc pas d’un côté, le montant prêté avec le taux et de l’autre, le reste avec les frais et l’assurance mais elle met tout ensemble.
D’où l’importance d’influer au maximum sur tous ces éléments.
Si la banque oblige souvent à ouvrir un compte chez elle et pour y domicilier son salaire, rien empêche de prendre aussi une carte gratuite ailleurs ou alors gratuite la première année.
Le but recherché consiste à pratiquer le gagnant gagnant avec la banque car ensuite, si celle ci sait qu’elle peut effectuer de bonnes affaires avec vous alors elle hésite pas ensuite une seconde à vous proposer un rdv en urgence ou à négocier différents avantages en votre faveur..
Il en est de même avec un notaire car quand on achète un bien immobilier, le vendeur déclare une partie mobilière fixe c’est à dire de meubles (placards, frigidaire, lit, table etc) mais pas robinetterie, baignoire ou tuyauterie car ceux ci font partie de l’immobilier.
L’on distingue la partie immobilière de celle mobilière et tout ce qui constitue ce deuxième point vient en déduction du prix final à déclarer auprès du notaire.
Le notaire sait aussi que si le vendeur veut vendre, il a tout intérêt à bien calculer toute la valeur mobilière pour arranger l’acheteur en priorité.
Donc si réduire la fiscalité est important, réduire les frais le sont tout autant. A vous de jouer.