Aujourd’hui, les règles pour l’octroi d’un prêt immobilier par les banques ou organismes financiers ont quelques peu changées.
Auparavant, les banques pouvaient prêter jusqu’à 33% voire plus en fonction du reste à vivre.
Désormais le haut comité central a acté qu’il ne faut pas dépasser le taux de 35% assurance du prêt inclue (non prise en compte dans l’exemple précédent) et une durée de prêt maximum de 25 ans.
Il précise aussi que le taux différentiel ne peut plus s’appliquer afin de calculer le niveau d’endettement donc les loyers moins le montant de la mensualité des prêts affectés à ceux ci ne viennent plus en rajout des autres revenus et qui se divisent ensuite des charges (prêt immobilier ou consommation ou loyers), le tout multiplié par 100.
Il est évident que cette règle paraît stupide mais elle fait suite à la crise subit jusque là.
Néanmoins rien empêche de continuer à saisir sa chance d’autant que cela dépend aussi de votre situation et profil, soit en devenant propriétaire occupant et/ou non occupant à titre d’investissement locatif.
Le reste à vivre s’applique aussi dans le calcul d’endettement des banques quand les revenus restent conséquents.
Une des choses qui différencie les gens qui réussissent des autres, c’est que les premiers saisissent leur chance à fond au maximum et quoiqu’il arrive.
Donc même si les circonstances semblent moins favorables pour l’instant, rien indique que celà va rester identique à l’avenir. La vision de court terme ne doit pas prendre le pas sur celle de long terme.
Gardez une vision positive basée sur une perspective lointaine et n’attendez pas qu’un événement extérieur arrive.
Les résultats sont ceux que l’on façonne au jour le jour par un ensemble de petites actions mises bout à bout et qui se renouvellent grâce à l’abondance qui en découle.
