Dans la vie, il existe de bonnes ondes et mauvaises ondes ou en anglais « the good or bad vibes » .
Cela traduit de bonnes ou mauvaises atmosphères ou de bonnes ou mauvaises vibrations.
- A quoi reconnaît on de bonnes atmosphères?
On ne se sent pas irrité, tendu, accaparé, pleins de désordres ou néants mais aligné avec nos désirs et valeurs les plus profondes. Donc tout sauf une vie faite de compromis ou d’à moitié.
Vous avez des tonnes de gens qui veulent une relation « à moitié » , de l’argent « à moitié » , une vie sociale « à moitié » , une santé « à moitié » … Si c’est le cas, l’on passe aussi à côté de plus de la moitié de son existence.
Pour la plupart, ce qui les bloque c’est la peur comme celle de la différence, du qu’en dira t’on, de la jalousie des autres, de la critique, du rejet…
Toutes ces fausses rationalisations restent vaines.
Une manière de résoudre cette difficulté passe par la recherche d’une amélioration de son en dehors. Celui là a une grande influence et agit sur le dedans.
En fonction de l’endroit où l’on vit, des personnes que l’on côtoie ou encore des sources d’informations que l’on ingurgite, tout celà s’imprégne dans nos actions et décisions. Comme notre esprit reste semi conscient, il répond ou agit beaucoup plus souvent en réaction à un stimuli extérieur et répète ensuite ce même comportement encore et encore à la manière du chien de Pavlov.
A mesure que l’on s’abreuve de choses meilleures, nos perceptions se modifient par là même et l’on développe ensuite de meilleures antennes plus habilitantes et bénéfiques. Il faut se tourner vers ce qui nous éleve et s’éloigner de ce qui nous abaisse. Cette simple maxime va faire la différence.
Aujourd’hui, la société aime et protège ses victimes en ce sens qu’elle alimente le jeu des grandes puissances, industries ou corporations. Moins vous protestez et mieux l’on peut vous entretenir ou manipuler.
Car si l’on se résout à son environnement ou à ce qui nous est donné alors en réalité, ça revient tout bonnement à se mettre ou placer en position de victime. Choisir ce statut, c’est se résigner. Celui ou celle qui prend mais ne créer pas se détruit et il en vient à accuser les autres et le monde entier.
Les gouvernements se servent de vous grâce aux logements sociaux qu’ils créent ou aux impôts qu’ils vous font payer pour construire des zones prioritaires.
Les entreprises vous empoisonnent de leurs produits toxiques et objets inutiles.
Les laboratoires fabriquent des malades par milliers et financés gracieusement grâce aux millions de travailleurs.
Les banques et organismes financiers servent de l’argent à la demande pour mieux vous le reprendre et vous asservir des années durant.
Les politiciens et bureaucrates pondent toujours plus de nouvelles lois et mesures dans le but de vous contrôler sans contraintes.
Échapper à tout cet atmosphère asphyxiant et vicié devient un vrai parcours du combattant semé d’embûches.
Dans cette jungle, il persiste encore des lieux respirables, des environnements favorables et des relations non encore déjà établies. Parfois, vous tomberez mais vous allez remonter et repartir de plus belle.
Si l’on ne se rend pas laxiste envers soi et ce que l’on souhaite, notre niveau d’exigence augmente progressivement à la mesure de ce que l’on arrête de tolérer.
Vivre dans un bon atmosphère demande un effort d’eclaircissement afin que la lumière assombrisse la nuit par sa puissance et que le chant des hirondelles fassent taire celui des klaxons par sa beauté.