Il faudrait bannir au maximum le sucre de son alimentation et ceci, depuis son plus jeune âge.
Le glucose produit un boost d’énergie temporaire et qui retombe très vite. L’insuline qui s’en trouve à la base joue cet effet yoyo très pernicieux, un peu comme d’autres substances dopaminantes.
En réalité, le sucre représente une drogue.
Une étude a démontré que des rats ou souris enfermés dans une cage et confrontés à du sucre et de la cocaïne, se dirigent vers le sucre le plus souvent, quand ils ont le choix entre les deux:
La logique circulaire peut prétendre ou laisser entendre qu’il s’agit en réalité, du moins pire et douloureux des deux mais une souris répond tout d’abord à son cerveau.
S’il lui dit de s’orienter de prime abord vers le sucre, c’est que développer des cellules viciees demande peu de temps et d’efforts avec cette substance.
Il suffit que l’animal ou l’homme s’en nourrisse alors qu’elle est mauvaise et toxique pour lui pour finir par développer des cellules tumorales.
Le processus peut s’effectuer très rapidement sans même que la souris ne s’en rende compte, elle se trouve prise au piège.
La première question que l’on devrait poser à une personne qui développe une pathologie cancéreuse, c’est de savoir si elle consomme du sucre.
Il ne s’agit pas de celui que l’on trouve dans les fruits (le fructose) qui reste sain et bénéfique mais plutôt, les sucres raffinés que l’on met dans des gâteaux ou café et que l’on trouve dans les viennoiseries, pains modernes et autres plats tout préparés…
La plupart des épiceries, magasins ou autres utilisent ce procédé très addictif pour inciter à consommer encore et encore.
La cellule cancéreuse se nourrit et s’alimente alors de beaucoup de sucre ce qui favorise davantage l’inflammation et la production de masses anormales ou poches remplies de bactéries et champignons qui viennent intoxiquées les autres organes adjacents.
Pour ma part, je ne consomme que très peu de sucre à l’occasion mais la plupart du temps, je saute les desserts, je saute les surprises offertes au travail ou lors de dîners, je saute les boissons énergisantes..
La meilleure façon de se débarrasser d’une dépendance au sucre et qui produit également de la prise de poids ou un excès d’insuline (non l’inverse) qui ne peut s’eliminer (diabète) consiste déjà à manger moins et moins souvent.
Très souvent, je répète que l’on a pris l’habitude de manger trop et trop régulièrement. A chaque prise alimentaire, on reçoit déjà sa petite dose d’insuline même sans consommer aucun sucre.
Donc en rajouter en plus avec de l’artificiel et en fin de repas ou quand on a encore le ventre rempli, encourage à perpétuer cette habitude de manger trop et fréquemment. On rentre dans un cercle vicieux.
Au moins cinq jours sur sept, je ne mange la plupart du temps que le soir et parfois, une pomme, une banane ou des amandes par exemple dans l’après-midi.
Le week-end, il m’arrive de manger le midi quand je me trouve par exemple en famille et donc, je sais que le soir j’aurais moins besoin de manger car tout dépend aussi de mon niveau d’activité.
Commencer par faire un régime et bouger plus constitue un bon début pour mieux ressentir son corps et ses besoins réels.
Jeûner va dans la continuité des deux premiers.
Si l’on se sent ballonnés, lourds et avec une respiration compliquée ou même des vertiges, c’est parce que l’on ne respecte pas ses vrais besoins de repos physique.
Pourquoi on en arrive là?
Par habitudes ou conventions.
Si on nous dit de manger trois fois par jour, on le fait, si on nous dit de mettre un masque même si on est pas malade, on le fait, si on nous dit de prendre tel vaccin pour se protéger, on le fait…
Et on oublie que c’est d’abord notre corps qui nous protège et comment on traite celui ci.
Stopper le sucre va vous permettre de vivre mieux et plus longtemps.