Lorsque l’on veut changer quelque chose dans notre vie, la première réflexion qui nous viens c’est que l’on doit fournir beaucoup d’efforts.
D’une certaine façon, ceci est vrai sauf qu’au lieu de s’y prendre sur du court terme, on va plutôt agir dans tel sens que pallier par pallier notre objectif se rapproche et matérialise.
Imaginons que l’on veuille maigrir ou arrêter de fumer. Il demeure pratiquement impossible d’y arriver d’un seul coup. La plupart du temps, une meilleure approche reste celle des petits pas.
Ce qui compte réside dans l’habitude répétée jour après jours, mois après mois et année après année.
La clé pour faire la différence se joue dans la régularité. Même si l’on part de loin, plus on continue et plus on s’améliore.
Ce qu’il faut surtout remarquer, c’est comment en changeant une habitude, cela peut avoir un impact positif sur d’autre sphère de sa vie.
Bob Proctor, un célèbre orateur américain évoque le paradigme. A tout moment, on peut changer ce qui constitue notre programme intérieur formé par les autres, notre environnement et nous même.
Si par exemple, vous avez l’habitude de vous coucher tard comme à minuit ou après minuit et que je vous dit que les meilleures heures de sommeil et les plus réparatrices sont celles avant minuit, vous allez vouloir tester si vous êtes curieux.
Donc, on a le choix de continuer comme avant ou se coucher un peu plus tôt chaque soir comme à 23h30 puis 23h puis 22h30 et 22h.
Bien sûr entre chaque changement horaire, on laisse un battement de plusieurs semaines voire plusieurs mois en fonction des personnes. Les saisons comptent autant donc en été, on veille plus tard qu’en hiver.
Grâce au faite de se coucher plus tôt, on peut maintenant se lever plus tôt et réaliser davantage d’actions de qualité. En effet, plus on se couche tard et plus on a tendance le matin et la journée à procrastiner. D’autres mauvaises habitudes s’enchaînent et cela devient un cycle infernal.
Les meilleures réussites viennent pour la plupart de petits changements réalisés jour après jour. A la fin on se demande d’où proviennent toutes ses étincelles.
Il n’y a pas de secret. Un pas après l’autre, un chemin après l’autre, étape après étape.
La patience mène loin à condition de commencer et il n’est jamais trop tard.
Allez y comme kobe 😉, honneur à lui: