S’associer comporte des avantages et des inconvénients et en faite, c’est la même chose que de savoir s’il vaut mieux être locataire ou devenir propriétaire.
Il faut créer un tableau et lister d’un côté ce qui est bénéfique et de l’autre ce qui ne l’est pas et puis un deuxième avec l’autre choix.
Ensuite, trier par ordre d’importance chaque chose positive et négative et en attribuant une note de zéro à dix.
Il n’y a que comme cela que l’on peut réellement choisir ce qui est le mieux pour soi comme de préférer rester locataire et pour attendre d’avoir un apport d’au moins deux tiers de la somme que l’on emprunte ensuite pour devenir propriétaire.
Trop de gens s’associent trop vite avec des mauvaises personnes et d’autres moins nombreuses sont pressées de le faire aussi, avec un maximum. Vous pensez qu’il s’agit par exemple, de banquiers mais en réalité ce sont plus des entrepreneurs ou des investisseurs. Robert Kyosaki dans Le quadrant du cahflow parle de ses deux types de personnes.
Quand on est salariés, l’on pratique en réalité l’inverse de l’association puisque le but consiste en faite qu’à ne conserver qu’un seul client le plus longtemps possible. Celui ci est votre patron car en réalité, c’est lui qui décide de payer votre salaire.
Même si celui là dépend de clients ou encore d’actionnaires, il reste que l’on doit satisfaire en premier lieu celui qui a le pouvoir de conserver l’emploi que l’on possède.
Un entrepreneur ou un investisseur sait qu’il doit s’associer avec plusieurs pour optimiser ses résultats.
En faite, il n’est pas en mode de focus externe ou il regarde en dehors de lui et se demande alors ou il peut trouver des pièces d’or. Il sait que les meilleures, il les possède déjà en lui et dès lors qu’il a une tête pour penser et un corps pour bouger.
Donc le but consiste à comprendre que la réussite individuelle ne part pas du faite, de vouloir forcément à tout prix mettre de l’argent en commun pour créer quelque chose de plus grande valeur. Il s’agît là d’une autre erreur.
Une personne qui arrive à faire preuve de bon sens de manière répétée dans sa vie comprend, qu’elle doit compter sur les autres et apporter un plus mais qu’elle ne doit absolument pas s’associer.
Les partages ne font jamais les bons comptes et que ce soit dans le business comme dans le couple.
Quelqu’un de sensé ne se marie pas, ne monte pas une société avec deux gérants et ne créer une sci que dans un but de transmission.
Il faut garder à l’esprit qu’en amenant de la valeur l’on accroît le potentiel de tous mais qu’en la partageant on le rabaisse.
Le but consiste donc à apporter toujours plus de richesse et veiller à ce que d’autres en fassent aussi de même car il n’y a que de cette façon que l’être humain évolue positivement et se développe avec harmonie.
Hannah
24 avril 2017 at 16 h 14 minBonjour Romain,
Il est important de bien savoir avec qui l’on s’associe. C’est pour cela qu’il ne faut pas foncer sur la réalisation d’un projet d’investissement tête baissée ! Il faut savoir ce que l’on fait et bien peser le pour et le contre avant de se lancer.
Argent et Liberte
29 avril 2017 at 16 h 40 minOui tu as raison mais le but de cet article vise surtout à montrer qu’en investissant seul il s’avère plus avantageux de créer de l’enrichissement pour les autres et pour soi car souvent en s’associant l’on doit si un des associés est défaillant racheter le fond, vendre l’immeuble ou ses parts. Mais le faire dans le cadre d’une sci permet d’éviter l’indivision en cas de transmission familiale sans vendre des immeubles et en reprenant seulement la part de l’autre associé et aussi de définir quand même un gérant qui a des pouvoirs plus étendus mais donc peut mettre seul en péril la sci au détriment de l’autre. Quand tu es seul aux manettes tu assumes seul tes échecs et tes réussites cordialement.
Hannah
5 mai 2017 at 8 h 06 minEffectivement, lorsqu’on investit seul, l’on assume tout tout seul ! Tu penses que c’est une bonne idée de créer une SCI avec des membres de sa famille ou des amis ou alors avec des inconnus ?