Pour savoir investir, il faut se rendre capable de maîtriser 3 éléments importants:
– Le premier conseil est d’investir dans ce que l’on connaît. Cela peut aller de soi mais en faite, il s’agit de choisir des choses qui sont connus.
Pourquoi?
Car en réalité, l’on sait qu’il est possible de mettre de l’argent dans l’immobilier, dans la bourse ou dans l’entrepreneuriat. Ce sont des domaines que beaucoup de gens peuvent utiliser comme levier financier.
Car il y en a d’autres comme le vin, les toiles de maîtres ou encore le diamant. Pourtant ce qui est connu est ce qui existe déjà depuis très longtemps. Pour réussir, le plus simple consiste à toujours se baser sur des éléments passés et qui ont une ancienneté assez longue.
En réalité, depuis combien de temps par exemple le forex existe t’il? C’est très récent tandis que les actions aristocrates elles, le sont depuis bien plus longtemps.
Il faut donc aller à l’essentiel et ne pas se dire que sous prétexte que tout le monde le fait et a la même information alors tout le monde va agir et utiliser cela.
La différence se fait aussi beaucoup, dans la manière d’agir.
– Le deuxième conseil est d’investir dans ce que l’on comprend.
Admettons que l’on souhaite placer de l’argent dans l’immobilier et bien, il existe pleins de formules plus ou moins compliquées comme, du crowdfunding ou investissement participatif qui est avantageux dans l’immobilier tertiaire commercial.
Les questions à poser sont:
Est ce vraiment simple à comprendre? Est ce ancien? Quelles sont les réelles garanties?
Trois questions faciles à répondre par exemple en regardant le bilan et rapport annuel. Lorsqu’il existe trop de questions à se poser c’est que généralement il ne s’agît pas d’un bon plan.
La meilleure efficacité réside généralement dans la simplification ou l’art d’aller à l’essentiel.
Warren Buffett, le grand boursicoteur ne choisit que des actions de sociétés dont il comprend le fonctionnement comme celles de Coca Cola ou Colgate Palmolive…
En revanche, si l’on a plus de questions que de réponses cela signifie donc que le risque est bien trop élevé comparativement avec ce que l’on a à y consacrer. Même un bungalow dans un camping comporte plus de désavantages que d’avantages…
– Le troisième conseil suit les deux premiers. Il réside dans le faite d’avoir une vision sur le long terme.
Dès lors que le choix d’investissement a une ancienneté assez importante, qu’il est facile à comprendre et qu’il a aussi des perspectives de projections futures favorables l’on peut se lancer.
C’est pourquoi, il reste toujours judicieux de réaliser un bon business plan ou success plan c’est à dire de savoir réaliser de bonnes prédictions en se basant sur des observations par rapport à sa durée d’existence actuelle ainsi qu’à la possibilité de continuer aisément cela sur une durée importante.
Plus l’on est capable de voir loin dans l’avenir, plus le choix de l’investissement est le bon.
Maintenant si l’on réfléchit posément à ses éléments précédents, de nombreux choix s’avèrent payants comme de réaliser de l’investissement locatif sur du T1, T2 ou T3 en ville, de placer de l’argent en bourse sur des entreprises du CAC 40 très réputées etc.
C’est une question de vision et dès lors que celle ci est la bonne, le reste lui suit de même.
Hannah
24 avril 2017 at 16 h 16 minJe crois qu’il faut investir selon son profil et ses objectifs. J’ai fait des recherches sur le sujet. D’après la somme d’argent que je suis prête à investir, ce qui me conviendrait le plus, ce sont les SCPI. Après mûre réflexion, je pense le faire ici : https://www.corum.fr/ . De plus, j’ai eu un bon retour concernant cette société, car j’ai des amis qui y sont devenus associés il y a pas mal d’années déjà. As-tu des conseils à me donner concernant ce type de placement ?
Argent et Liberte
29 avril 2017 at 16 h 25 minOk super ce qu’il faut comme mise de départ c’est entre 200€ et 1000€ mais le mieux est d’en souscrire 5 ou 10 parts. Il y a deux types de sociétés civiles de placement. La première, qui est réservée à l’immobilier tertiaire représente 90% de la collecte des capitaux et offre un rendement net moyen avant impôts c’est à dire loyers perçus une fois enlevées toutes les charges sur l’année/montant de la mise départ d’environ 4.65%. La deuxième, concerne l’immobilier résidentiel adossé avec un dispositif défiscalisant de type Malraux ou Pinel (sur du neuf) est moins rentable et permet de réduire l’impôt correspondant calculé sur le montant de la souscription et réservé à ceux qui sont fortement imposés. Il vaut mieux choisir la première solution avec en plus un investissement avec travaux afin de générer du déficit foncier à reporter sur les revenus imposables. Il faut vérifier la solidité financière de la SCPI sélectionnée avec les bilans et les rapports annuels d’activité mais en général, plus sa durée d’existence est longue plus on peut lui faire confiance cordialement.
Hannah
5 mai 2017 at 7 h 58 minMerci pour tes conseils ! Selon les sites internet que je visite, il est possible de trouver ces infos dans le dernier rapport annuel et le bulletin trimestriel. On peut également consulter les statuts de la SCPI choisie et la note d’information pour en savoir un peu plus.